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> Le peer to peer face à la logique du droit d’auteur
20 mai 2004,
message de Daniel Mérigoux
C’est un bonheur de lire les diverses parties de ce texte que tu nous livres.
Mais quand on pense au silence des autres juristes à propos de ce sujet brûlant, dont tu nous montres sans hystérie les enjeux, on est en droit de se poser des questions, que ceux-là n’ont sans doute pas envie de partager.
Si j’avais besoin d’un avocat, comme l’infortuné Guillermito,je n’hésiterais pas.
Allez, bravo et continue la lutte contre la bêtise de la rétention de la connaissance, tu n’es pas seul !
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Le droit d’auteur n’est pas fonçiérement "mauvais".
13 mai 2004,
message de Flamme696
Le droit d’auteur n’est pas seulement cette vision péssimiste je trouve. c’est aussi un formidable moyen pour l’inividu "isolé" de faire valoir ses "droits de pensées" et de protéger des oeuvres techniques qu’il n’est pas à même de réaliser seul et sans l’aide de personnes morales plus compétentes et potentiellement "dangeureuses" comme assoçié s’il n’avait pas cette sécurité de lui offre le droit d’auteur. J’ai ainsi passé 4 ans à réfléchir à un Concept d’identité numérique mettant judicieusement en place le droit d’auteur au profit des individus "isolés" par les incohérences des systémes de communications de notre époque. J’ai travaillé dans le secret et ainsi affirmé il y a environ 1 an et demi sur 01net.com (qui s’est trouvé laxiste d’en retrouver la traçe)que d’ici fin 2004 les acteurs présent aux ambitions du projet d’identité numérique universelle font être surpris de s’interroger comment un pauvre garçon de quartier diffiçile à pu mettre au point une stratégie d’identité numérique qui donne réellement le plein pouvoir aux individus sans faire de compromis aux ambitions démesurées de ces soçiétés. Et c’est le droit d’auteur qui a va permettre ce projet qui va en surprendre plus d’un. Et je suis heureux de le redire aujourd’hui 3 mois avant que je vous l’expose enfin ici même. D’ici là vous ne me reverrez pas. je remercie tout ceux qui n’ont pas crû en moi et éviter de perdre votre temps à pirater quoi que ce soit à mon sujet. Considérez ceci comme un hoax si celà vous conforte mais rendez-vous dans 3/5 mois. ;-) |
> 0. Le peer to peer face à la logique du droit d’auteur
11 mars 2004,
message de sergenri
Michael Moore vient de prouver encore une fois la sincérité de ses intentions militantes en approuvant les copies de ses oeuvres par le biais du web. Interrogé à ce propos, il répond : "Je ne suis pas d’accord avec les lois sur le droit d’auteur et je n’ai aucun problème à ce que les gens téléchargent le film (Bowling for Columbine) et le partagent... En autant qu’il n’essayent pas de tirer un profit de mon travail. Je fais ces film, ces livres et ces émissions de télé parce que je veux voir les choses changer, et donc, plus il y a de gens qui les voient, et mieux c’est". |
Pour un "droit d’hauteur"
23 octobre 2003,
message de Minga
Cet article résume bien la situation : le droit d’auteur ne sert plus qu’exceptionnellement les auteurs, mais engraisse les multinationales de l’édition. En fait, nous assistons en ce début du XXIième siècle à une offensive généralisée des "rentiers du capital". Ils intriguent pour un verouillage légal du patrimoine commun de l’humanité : attaques contre le p2p et sa logique coopérative, brevets logiciels (une absurdité juridique et logique), poursuites judiciaires contre celles et ceux qui entendent encore librement échanger le savoir, tentatives d’imposer des technologies de cyber-flicage (puce palladium, ...), etcetera Saviez-vous qu’il est d’ores et déjà interdit en France de publier "Nuit et brouillard", une chanson de jean FERRAT qui fait maintenant partie de l’histoire ? Qu’il n’est même pas certain que des anciens combattants aient le droit de chanter le "Chant des partisans" sans reverser des royalties à la SACEM ? Que j’ai breveté le nombre PI ? Notre seule chance de préserver le droit à la connaissance pour les générations à venir est de développer l’information sur ces sujets, le lobbying auprès des "décideurs", et les luttes contre toutes forme de privatisation-accaparement du savoir universel. A ce titre, l’usage de licences libres pour les oeuvres d’art comme pour les logiciels est plus qu’une nécessité : c’est un devoir citoyen. Bill browser is watching you ! en ligne : revoltes.free.fr
> Pour un "droit d’hauteur",
5 janvier 2004
Oui et non. Pour certains artistes, le droit d’auteur conclu avec la multinationale reste le seul moyen de profiter du disque qu’il aura fait. Si l’essentiel du coût d’achat du disque va bien engraisser le producteur et les distributeurs (Comment la FNAC fait-elle pour vendre des disques récents à 9 euros en ce moment, en ayant l’obligation de ne pas les vendre à perte ?), le droit d’auteur, lui, va bien à l’artiste. 50c ou 1E, certes, mais c’est toujours cela.
> Pour un "droit d’hauteur",
Minga,
30 août 2005
Sur de nombreux sites, les artistes diffusent gratuitement leur oeuvre en mp3. De leur propre aveu, ils vendent ainsi bien plus de disques (cd ou dvd). Ils existe également de plus en plus d’artistes qui publient tout ou partie de leur oeuvre sous licence libre type "art libre" ou "creative commons". De toute façon, l’art rebelle, l’art iconoclaste, l’art qui caresse à rebrousse-poil les ordres établis, cet art-là n’a pas qu’exceptionnellement droit de cité dans l’espace médiatique traditionnel (internet mis à part). Les artistes originaux, rebelles, ou anticonformistes, créatifs, en un mot, sont donc obligés peu ou prou d’inventer d’autes conceptions de l’art, du métier d’artiste, et de la distribution des oeuvres. De ce fait, certains artistes font des efforts éthiques, d’autres pas. D’autres, c’est vrai, dépendent des multinationales de "l’entertainment". la plupart du temps, ils font peu de concerts, beaucoup de promos télés, peu de texte et beaucoup de radios, peu d’audace musicale et beaucoup de samples ... Sinon ils n’auraient pas besoin de ça pour vivre : ils vivraient de leur art, et non de ses miettes. Loin de protéger les artistes, les législations sur le droit d’auteur sont souvent utilisées pour les plumer en toute légalité. Ceci, beaucoup d’artistes vous le disent franchement, en privé. Plus rares sont ceux qui ont le courage de contester publiquement les sociétés de répartition de droits d’auteurs aux méthodes douteuses, les "majors" et leur formatage marketing de "l’art" doublé de leur lobbying pour taxer tous les internautes (y compris ceux qui n’écoutent pas de musique ...). Réfléchissez : on a eu assez de "propagande phonographique" dans la médias, avec une ribambelle d’interviews de requins des principales majors. Vous avez forcément entendu leur message : VOUS, petit internaute, en écoutant de la musique librement, vous ruineriez leurs perspectives de profits à deux chiffres. Vous n’avez pas honte ? Non ? Ben moi non plus ! ;-) Si la musique des financiers de l’entertainment n’est plus écoutable sans titre de propriété, ou sans risques juridiques, eh bien, je préfère ne plus écouter cette m.... . Et si la "star-ac" doit péricliter au passage, on devrait pouvoir s’en consoler ... en ligne : revoltes.free.fr
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Pour un "droit d’hauteur"
23 octobre 2003,
message de Minga
Cet article résume bien la situation : le droit d’auteur ne sert plus qu’exceptionnellement les auteurs, mais engraisse les multinationales de l’édition. En fait, nous assistons en ce début du XXIième siècle à une offensive généralisée des "rentiers du capital". Ils intriguent pour un verouillage légal du patrimoine commun de l’humanité : attaques contre le p2p et sa logique coopérative, brevets logiciels (une absurdité juridique et logique), poursuites judiciaires contre celles et ceux qui entendent encore librement échanger le savoir, tentatives d’imposer des technologies de cyber-flicage (puce palladium, ...), etcetera Saviez-vous qu’il est d’ores et déjà interdit en France de publier "Nuit et brouillard", une chanson de jean FERRAT qui fait maintenant partie de l’histoire ? Qu’il n’est même pas certain que des anciens combattants aient le droit de chanter le "Chant des partisans" sans reverser des royalties à la SACEM ? Que j’ai breveté le nombre PI ? Notre seule chance de préserver le droit à la connaissance pour les générations à venir est de développer l’information sur ces sujets, le lobbying auprès des "décideurs", et les luttes contre toutes forme de privatisation-accaparement du savoir universel. A ce titre, l’usage de licences libres pour les oeuvres d’art comme pour les logiciels est plus qu’une nécessité : c’est un devoir citoyen. Bill browser is watching you ! en ligne : revoltes.free.fr
> Pour un "droit d’hauteur",
Dug,
30 janvier 2004
Absolument :-) Quelques liens utiles sur ce sujet (vu que l’avenir du patrimoine publique Americain impose des precedents néfastes pour l’avenir du notre) : http://www.eff.org/ |