|
|
|
|
|||||||||||||||||||||||||
|
|
> A quand le grand brassage ? |
LES JOURNALISTES NOUS PRENNENT POUR DES IDIOTS
23 octobre 2003
Pourquoi les journalistes ne parlent pas de nos problemes à nous ? les vrais ! le chomage, le sida, la globalisation etc. Les journalistes sortent des articles copiés collés. Aucun esprit de synthèse, ni d’analyse. Souvent hors sujets ! Souvent hors de nos vies. Bref des médias qui ne s’interessent pas à NOUS. Des médias pour qui le chiffre d’affaire est le plus important. L’audimat etc. La coupe du monde super, mais les exclus, le racisme, le rmi, etc , vous en parlez ? je veux dire : quelles sont les origines et quelles sont ls solutions ? Bref, aucune volonté de vouloir rendre les gens plus intelligents ! |
UNE INITIATIVE DU CFJ
16 décembre 2002,
message de arnaud gonzague
Le CFJ fonde la Bourse Julien Prunet La direction du Centre de Formation des Journalistes (CFJ) et l’Association des anciens élèves ont décidé de mettre en place pour la rentrée 2003 une Bourse Julien Prunet, en hommage au jeune journaliste aveugle, diplômé du CFJ, disparu en mai dernier.
Attention : Le programme des études, très dense, ne permet pas d’avoir une activité salariée durant cette période. Le Bureau des élèves propose un éventail de piges constituant un complément de ressources. Par ailleurs, le CFJ et l’Association des anciens étudient actuellement la possibilité de faire financer les études du lauréat de la Bourse Julien Prunet. Pour plus d’informations : Centre de Formation des Journalistes, 35 rue du Louvre, 75002 Paris Aline Réale, secrétaire générale : areale@cfpj.com |
> Merci |
> A quand le grand brassage ?
25 mars 2001,
message de Rocky
Tu parles de qui, là ? des journalistes des média parisiens ? Du Figaro, du Nouvel Obs, du Point, des télés ? Sors de ton arrondissement, un jour, et viens voir en province, tu risques d’y voir des journalistes qui ne correspondent pas à tes clichés.
Par ailleurs, à propos d’Houellebecq, j’ai plutôt l’impression que, justement, si on a lu des romans -autres que le (les ?) sien - on risque moins d’avoir envie d’aller l’interviouwer que si on n’en a jamais lu. Mais ça, c’est affaire de goût.
JR, journaliste (en province)
> A quand le grand brassage ?,
26 mars 2001
Oui, effectivement, les deux articles que j’ai publié sur le MiniRezo parlent tous les deux de la presse nationale et je l’écris, y a pas tromperie sur la marchandise. J’ai déjà travaillé en presse régionale, mais je ne m’estime pas suffisamment compétent pour dire que le piston y joue un grand rôle. Ce n’est pas un oubli, cher Rocky, c’est de l’honnêteté intellectuelle. Quant à dire que la race des journalistes de presse locale et leur travail est bien plus remarquable que celui de la presse nationale, alors là, permets moi de m’esclaffer. Je ne vais pas entrer dans les détails, car je n’ai ni la place ni le temps, mais j’en ai tâté assez pour savoir que ce n’est pas le journalisme dont on peut honnêtement rêver si l’on veut réformer ce métier. Mais je suis optimiste : je pense que cette presse ne va cesser de se moderniser et d’évoluer dans le bon sens. Je te laisse sur ce bon papier du Diplo sur le journalisme de province : http://www.monde-diplomatique.fr/1996/11/DESCAMPS/7444.html A
> A quand le grand brassage ?,
Jean Roquecave,
29 mars 2001
Je n’ai jamais dit que le travail des journalistes de PQR est plus remarquable que celui de la presse nationale. Il ne l’est pas non plus moins. Il y a là, comme partout, des bons et des mauvais. Rassure-toi, il y a aussi comme partout des fils d’archevêques, mais l’espèce n’est pas assez nombreuse, loin de là, pour monopoliser les embauches. Ce qui explique peut-être que le phénomène est moins apparent que dans des milieux plus resserrés comme les radios ou les télés. Et comme dans la presse parisienne, être fils d’archevêque permet, au delà de l’entrée dans la profession, d’avoir une carrière dont l’évolution n’est pas liée aux seules qualités professionnelles. Rocky |
> A quand le grand brassage ?
13 mars 2001
Détails ... Il y a du vrai dans ce papier. Il y a aussi du faux ; ou du "à peu près", on dirait ... du journalisme ! Deux exemples perso :
Maintenant, c’est vrai qu’il y a, et du piston, et des fils d’archevêques dans notre profession. Mais pas seulement. Cordialement. Bernard Langlois
> A quand le grand brassage ?,
Arnaud,
14 mars 2001
Bonjour, Je ne vois pas bien où vous voulez en venir. Est-ce que le fait qu’il y avait 40 Africains dans votre promotion est un signe qu’il y en a bien assez qui sont formés pour ce métier ? Je ne crois pas en avoir vu beaucoup dans la presse nationale précisément parce que ces jeunes gens se destinaient au marché africain, non ?(et c’est tant mieux pour la qualité de la presse là bas ) Si votre propos est de dire qu’il y a largement assez d’Africains (du Nord comme d’Afrique subsaharienne) ou d’origine africaine dans notre métier, là, je ne peux y souscrire. Ou alors, je les ai manqués ! Je partage à 200% votre découverte du métier par une conférence donnée dans un lycée par un journaleux. C’est EXACTEMENT là qu’il faut aller agir et c’est à cela que j’appelle très explicitement dans mon article. Pour ma part, je vais retourner dans mon lycée pour aller y faire une petite conférence afin d’expliquer mon job à des lycéens. Et leur dire, nom de Dieu, d’entrer dans des écoles de journalisme, parce que ce sera le seul moyen pour eux de rentrer dans ce boulot pourri par les pistonnés ! Et j’incite tous les journalistes à faire de même : retournez dans vos lycées surtout s’ils étaient modestes et expliquez votre job. A
> A quand le grand brassage ?,
14 mars 2001
|
> A quand le grand brassage ?
9 mars 2001,
message de Jean-Michel Roland
Cette réflexion n’est que trop schématique par bien des aspects. Tes réfléxions ne brillent pas forcément par leur cohérence et tu es souvent un peu confus. Et tu ne sembles pas maîtriser parfaitement toutes les notions que tu manies, avec plus ou moins de bonheur.
Ta réfléxion, si imparfaite soit-elle, a néanmoins le mérite d’exister.
Mais je ne pense pas que tu sois la personne la plus habilitée à le faire. En tant que journaliste, tu gardes tes instincts corporatistes, comme tu défendrais les intérêts de ta caste. Ce qui ce ressent dans tes dires.
Tu es plein de bonnes intentions. C’est louable. Mais ton papier est symptômatique de ce qui ronge le journalisme : se regarder constamment le nombril.
Un élément extérieur, comme un sociologue, aurait, à mon humble avis, un regard beaucoup plus acérée sur les problèmes que tu soulèves.
Tu es à la fois juge et partie, et c’est là que le bât blesse. Tu es plein de bonnes intentions, mais, sans même peut être que tu t’en rendes comptes, tu as certains des défauts et des travers que tu stigmatises chez tes pairs. C’est inhérent à ta profession, où le nombrilisme a toujours fait preuve de profession de foi. Tu te poses en chevalier blanc, mais ta virginité est déjà largement entâchée. C’est dommage car tu dis des choses sensées.
> A quand le grand brassage ?,
9 mars 2001
1 - J’accepte tout à fait la critique de mon article et notamment celle qui affirme que je suis trop orienté, car étant journaliste. Mais elle ne doit pas se résumer à des mots : donne des exemples tirés de l’article et nous en discuterons. 2 - Je ne me pose pas en "chevalier blanc", alors cesse d’emprunter ce ton condescendant que je trouve un peu sot. Discutons, débattons, mais en personnes responsables, pas en lanceurs d’anathèmes gratuit. Le chevalier blanc est anonyme, moi, je dis des choses sous mon vrai nom, avec tous les risques que cet acte comporte. Amitiés Arnaud
> A quand le grand brassage ?,
Jean-Michel Roland,
13 mars 2001
M. Arnaud, En préambule, laissez-moi vous dire que votre petit ton condescendant de "journaliste-au-dessus-de-la-mêlée-des-scribouillards-laborieux", à défaut de me laisser perplexe, m’horripile diablement. Une fois ceci précisé, revenons à nos moutons. Ma première intervention, fruit d’une reflexion au débotté après une lecture rapide de vos quelques paragraphes (je l’imagine également écrits sur un coin de table), manquait sans doute de concision. Tout d’abord, le fond de la question n’est pas tant le "brassage" qui manquerait tant, selon vos dires, à la caste journalistique. Au-delà même de savoir si un fils de tourneur-fraiseur serait meilleur qu’un fils de diplomate pour traiter de la fracture sociale, il serait bon de revenir à une réflexion un peu plus profonde et moins superficielle. Je pense en effet que le métier de journaliste est PAR ESSENCE synonyme d’à peu près. Le schématique règne en maître en cette profession. Je m’explique : pris par des impératifs horaires, le journaliste n’a pas le temps et le recul nécessaire pour traiter honnêtement et sans raccourcis l’information dont il a à traiter. Son travail ne peut être qu’incomplet et schématique. Si certains essayent de faire du mieux qu’ils peuvent pour ne pas trop sombrer dans le vulgaire (Monde Diplomatique essentiellement), d’autres (95% de la presse française) ne se nourrissent que de sensationnalisme et d’à peu près, pour ne pas dire d’ordures. Quand on parle pompeusement du "Monde" comme journal de référence, je me gausse. Si l’on y regarde d’un peu près, ce quotidien du soir n’a rien à envier aux pires tabloïds d’outre-Manche. Des pages entières, où médiocrité et vacuité font excellent ménage, à l’image des pages conscacrées à la politique. Je pense donc, qu’en matière de REFLEXION - car c’est là un mot bien étranger au petit univers parisien et doré des journalistes -, seul un universitaire, un chercheur, quelqu’un qui n’agit que par conscience et non par l’appât du gain qui soit à même de mener des raisonnements dignes de ce nom. Messieurs les journalistes, contentez vous de résumés objectifs de l’actualité et cessez de vous prendre pour un 4e pouvoir faiseur d’opinion. Une prétention qui mène aux pires excès. Ainsi, qui peut raisonnablement contester que ce sont les journalistes qui ont FAIT le Front National, en donnant une ampleur médiatique sans précédent à une poignée de nostalgiques de l’OAS. Plus grave encore, l’internet me semble constituer un danger suplémentaire, bien plus grand et dangereux que le FN. Présenté comme un outil d’échanges, le web est surtout une machine à faire du fric en flattant les plus vils instincts de l’espèce humaine. Voir la multiplication des sites classés X, lorsqu’ils ne sont pas pédophiles. Et le plus malheureux, c’est qu’on développe de plus en plus l’internet à l’école. Mes enfants passent beaucoup de temps à "surfer". Et je m’en inquiète grandement au point de songer à leur interdire. Le syeux rivés sur leur écran, ils ne pensent plus à lire, à penser, à se cultiver. Internet, c’est la facilité, la vacuité... le McDonalds de la culture. A terme, les générations à venir ne seront même plus ce qu’est un livre. Les nazis brûlaient les livres à la vue de tous. Bien plus pervers, internet réalise la même chose à petit feu sans que personne ne s’en révolte. Chaque fois que j’allume mon écran, c’est de plus en plus Big Brother qui apparaît. Voilà une chose qui n’est JAMAIS dénoncée dans la presse. Et c’est pourtant une chose fondalement plus importante que toutes ces petites questions parisiennes sur le recrutement de la caste journalistique...
> A quand le grand brassage ?,
13 mars 2001
seul un universitaire, un chercheur, quelqu’un qui n’agit que par conscience et non par l’appât du gain Ca y est, la grande loufoquerie sur les preux universitaires recommence. Je n’ai aucune complaisance particulière pour les journalistes, mais pas plus pour les chercheurs/universitaires qui passent leur temps à gratter dix fois le même rapport ou article afin de se faire bien voir de leur hiérarchie, de leur "communauté scientifique", et donc d’avoir une promotion quelconque. Il n’y a pas plus de bons chercheurs que de bons journalistes, et la façon dont la recherche fonctionne actuellement n’est pas plus satisfaisante que celle dont fonctionne le journalisme. Et le plus malheureux, c’est qu’on développe de plus en plus l’internet à l’école. Mes enfants passent beaucoup de temps à "surfer". Et je m’en inquiète grandement au point de songer à leur interdire. Le syeux rivés sur leur écran, ils ne pensent plus à lire, à penser, à se cultiver. Internet, c’est la facilité, la vacuité... le McDonalds de la culture. Quelle horreur. Et des livres de merde, il n’y en a pas peut-être ? Quelle différence entre un site nul et un livre nul ? Tu choisis les livres pour tes enfants ? Eh bien, qu’attends-tu pour choisir les sites ? a+ Antoine.
> A quand le grand brassage ?,
Arnaud,
13 mars 2001
Comment discuter avec quelqu’un qui dit : "De toute façon, ton article, il a aucun intérêt, parce qu’il y a des choses bien plus graves que ça qui n’ont rien à voir, et tu n’en parles pas !" Alors, mon grand, pourquoi perdre ton temps à débiner point par point,un papier qui n’a , sur le fond, aucun intérêt pour toi ? Va voir ailleurs, va lire Val, Giroud ou Breton qui te contenteront sans doute en proférant le genre d’inepties démagos qui te feront monter au rideau, plutôt que d’essaye de réfléchir et débattre. La presse est pourrie, les journalistes sont des salauds, Internet, c’est de la merde. Ma grand-mère dit la même chose que toi et elle n’a pas eu besoin de faire autant d’études que toi. Ce doit être le bon sens populaire...
Vive le debat argumente !,
Fab,
10 mars 2001
Est-il vraiment inimaginable de critiquer une "caste" ou un "groupe" dont on fait partie ? Il est vrai que cela pose un probleme de recul mais d’un autre cote celui qui critique "de l’interieur" a tous les elements pour le faire, il "sent" le groupe qu’il critique et comprend mieux que tout autre ses manieres de penser, de se reproduire etc... Si en plus le critique est de bonne foi (i.e. il ne cherche pas a defendre, envers et contre tous, le groupe dont il fait partie), ses reflexions peuvent etre interessantes. Maintenant, c’est au lecteur profane (comme moi) de lire l’article et de faire jouer au maximum mon esprit critique pour isoler la part de parti-pris et la part d’objectivite qu’il y a dedans. L’article d’Arnaud m’a semble plutot obejctif et tres complet, mais peut-etre mon esprit critique a ete pris en defaut : c’est a ce moment que ce forum intervient : que les lecteurs qui ont trouve quelque chose a redire, quelque argument de mauvaise foi le signalent et mettent ainsi en evidence les carences de l’article (et completent le jugement que se fait du sujet le profane que je suis). Cette pratique est enrichissante mais par pitie - amis journalistes et sociologues - DES ARGUMENTS, DES FAITS !! J’ajouterai que pour ce qui est de se regarder le nombril, Arnaud me semble a des annees lumieres de certians pourvoyeur d’article du Minirezo (cf. les acteurs du Web independant qui parlent du web independant, encore du web independant et toujours du web independant). Et ces memes pourvoyeur lancent beaucoup d’anathemes et proposent peu de solution tandis qu’Arnaud a le merite d’en proposer quelques unes (ce qui est trop rares dans les discussions de nos jours).
> Vive le debat argumente !,
Arnaud,
10 mars 2001
Pour compléter cette réaction, je tiens à dire une chose : être journaliste ne garantit pas de dire des choses intelligentes sur ce métier, on en connait plein qui sont des défenseurs aveugles et/ou mal-intentionnés du journalisme, et qui le décrédibilisent plus sûrement que ceux qui l’attaquent. De même qu’il y a des journalistes qui attaquent assez bêtement ce métier (Cf Serge Halimi, qui n’écrit pas que des bêtises, mais commet souvent des amalgames gros comme des maisons...) comme s’ils n’avaient jamais mis les pieds dans une rédaction. Alors, oui, il est bon que les sociologues se penchent sur cette profession, mais pitié ! qu’on nous épargne les critiques complètement manichéennes (que l’un des intervenants de ce forum qualifie d’"acérées", oulalah !) du mec qui n’a jamais rencontré un journaliste de sa vie, qui projette ses propres fantasmes en invoquant deux trois exemples non-réprésentatifs (PPDA, Voici et Matt Drudge le plus souvent). Et l’on s’étonne que ces "pamphlets" fassent sourire les journalistes, ou leur fasse lever les yeux au ciel. Une critique qui ne repose sur aucune observation précise et longue du journalisme n’a aucune chance d’être écoutée (voir les phantasmes de Philippe Breton a propos du "culte de l’Internet", qui font sourire toute personne déja venue sur ce forum). C’est ce que Cyril Lemieux appelle la "critique extérieure". Et pourtant Cyril Lemieux est sociologue, pas journaliste. Mais son bouquin "Mauvaise Presse" sur ce boulot est, je le répète, formidable sans être indulgent. Qu’on s’en inspire ! |
Bravo
8 mars 2001,
message de Fab
Felicitation pour cet article interessant, argumente a pas completement "extreme" comme le sont certains (trop) d’articles publies sur ce site. Je trouve injuste qu’il n’y ait pas le moindre message sur le forum attenant, c’est peut-etre simplement... parce qu’il n’y a rien a dire : le constat dresse est clair, a mon avis - je ne suis pas specialiste - indiscutable et les solutions proposees de bon sens sans verser dans la surenchere "les journalistes tous pourris" ou "les journalistes sont de pauvres incompris". C’est ce genre d’article qui m’aide a me forger une opinion sur un sujet - le monde du journalisme - que je connais peu. Continue a en produire de la sorte. Amicalement Fabrice
> Bravo,
sam,
8 mars 2001
Je pense qu’il n’y a pas (encore) de réactions parce que l’article est récent et par ailleurs parce qu’on ne peut qu’être d’accord avec ce qui nous y est fort bien expliqué. Cela fait longtemps que j’ai observé que la télé et la plupart des journaux nous servent de la merde, généralement produite par des personnes suffisantes et ayant le cul au chaud, si je puis m’exprimer ainsi. Il est rafraîchissant de lire des idées propositions pour changer cela.
> Bravo,
Arnaud,
8 mars 2001
Merci pour vos réactions. Si le sujet du journalisme traité au-delà des habituelles querelles de clocher vous intéresse, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de l’excellent "Mauvaise Presse", du sociologue Cyril Lemieux (ed. Metaillé) qui analyse les critiques adressées à ce métier par la population, les intellectuels et par les journalistes eux-mêmes. C’est un travail complet, complexe ( c’est pour ça qu’on n’en a pas parlé dans tous les médias : il n’y a pas UN message clair et télévisuel, mais une étude riche en contradictions et bien nourrie) qui fait avancer le schmilblick. http://www.editions-metailie.com/sciences/clc033.htm Arnaud |